Financier

Le Private Equity : le circuit caché des opportunités inaccessibles

Publié le
July 8, 2025
4
min de lecture

Le Private Equity : La Formule 1 de l’Investissement.

Qui a dit que l'investissement devait être ennuyeux ? Le private equity, c’est savoir placer son capital là où la croissance s’écrit, dans des entreprises non cotées, et miser sur demain.

Avec Senturio, vous n’investissez pas dans une seule entreprise mais dans une centaine sur cinq ans grâce à plusieurs fonds d’investissement. Résultat des courses, vous profitez d’une diversification complète : secteurs d’activité, tailles de sociétés, zones géographiques, gérants, timing de maturité… Vous multipliez les opportunités tout en limitant les risques.

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Mais c’est quoi exactement ?

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Le private Equity, c’est comme jouer au Monopoly… mais avec de vraies entreprises. Vous mettez des billes (vos sous, pas des vraies billes) dans des sociétés qui ne sont pas cotées en bourse. L’idée ? Les aider à grossir, à se transformer, à changer de main ou à rebondir quand ça va mal. Il y a pour tous les goûts :

  • Capital-innovation (Venture Capital) : pour ceux qui veulent dĂ©nicher la prochaine star du garage Ă  la Steve Jobs.
  • Capital-dĂ©veloppement : si vous prĂ©fĂ©rez venir muscler une entreprise qui a dĂ©jĂ  un peu de bouteille.
  • Capital-transmission (LBO) : entrer dans la danse lors des changements de direction — un peu comme “Qui veut reprendre la boulangerie de M. Martin ?” mais version XXL.
  • Capital-retournement : pour les âmes courageuses qui aiment remettre des entreprises sur les rails.

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Les différentes étapes auxquels une entreprise peut-être confrontée

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Quels sont les avantages ?

  • Potentiel de rendement historique Ă©levĂ© : entre 15 et 20% de rendement annualisĂ© depuis des dizaines d'annĂ©es, de quoi faire rougir le S&P 500.
  • DĂ©corrĂ©lation des marchĂ©s cotĂ©s : quand la Bourse fait des montagnes russes, votre portefeuille diverisfiĂ© de private Equity garde son calme.
  • Impact dans la vraie vie : financer l’économie rĂ©elle, c’est tendance mais c'est surtout indispensable.

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Quelles sont les limites ?

  • IlliquiditĂ© sur du moyen terme: vos Ă©conomies peuvent ĂŞtre bloquĂ©es 7 Ă  10 ans… C’est la règle du jeu.
  • Risque de perte en capital : si on investit sans passer par un portefeuille diversifiĂ© de private equity, il faut espĂ©rer miser sur le bon cheval… et qu’il tienne la distance jusqu’à l’arrivĂ©e.
  • La sĂ©lection des sociĂ©tĂ©s: ici, pas de place pour l’à-peu-près, choisir fonds et gĂ©rant, c’est comme sĂ©lectionner le bon bolide : on se penche sur le palmarès, on veut de la fiabilitĂ© sous le capot… et on espère franchir la ligne d’arrivĂ©e sans passer par la case rĂ©paration.

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Structurer sa stratégie

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  En direct ou via une société 

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En private equity, le choix de détention (direct ou via holding) relève d’une ingénierie financière calibrée sur le profil investisseur :

  • dĂ©tention directe = simplicitĂ©, liquiditĂ© relative, mais leviers fiscaux limitĂ©s
  • via holding = effets de levier LBO, intĂ©gration fiscale, optimisation successorale (dĂ©membrement, donations Ă©chelonnĂ©es), structuration en cascade pour moduler droits, prĂ©fĂ©rences et sorties.

‍Le choix optimal dépend de l’horizon, de l’appétence au risque, de la fiscalité et de la stratégie patrimoniale de l’investisseur.

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  Anticiper la transmission 

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Anticiper la transmission en private equity, c’est orchestrer une ingénierie patrimoniale fine combinant démembrement de propriété (usufruit/nue-propriété), donations progressives avec abattements renouvelables, et recours à des véhicules juridiques (holdings, SCI) pour optimiser la fiscalité successorale et maintenir le contrôle.

Le montage pourra intégrer :

  • Le dĂ©membrement, pour rĂ©duire la base taxable en dĂ©coupant la propriĂ©tĂ© entre usufruitier (qui conserve les revenus) et nu-propriĂ©taire (hĂ©ritier futur).
  • Les donations Ă©chelonnĂ©es, permettant d’exploiter Ă  plusieurs reprises les abattements fiscaux lĂ©gaux (ex. 100 000 € par enfant).
  • La structuration via holdings ou SCI, pour faciliter la transmission progressive des parts tout en optimisant la gestion et la gouvernance.
  • Les pactes Dutreil (en cas d’entreprise), permettant une exonĂ©ration partielle des droits de succession sous conditions de conservation collective.
  • La planification du timing et des modalitĂ©s, clĂ© pour assurer liquiditĂ©, sĂ©curitĂ© et alignement avec le profil patrimonial et fiscal de l’investisseur.

Ainsi, anticiper la transmission, c’est concevoir une architecture complexe où chaque levier juridique et fiscal est calibré pour minimiser les droits à payer, protéger le capital et assurer une passation fluide entre générations, adaptée à l’horizon et au profil de l’investisseur.

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   Diversification intelligente

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  • Par stade de dĂ©veloppement : venture (early stage), growth, LBO, retournement.
  • Par secteur : tech, santĂ©, industrie, transition Ă©nergĂ©tique…
  • Par zone gĂ©ographique : Europe, US, marchĂ©s Ă©mergents.
  • Par millĂ©sime : investir chaque annĂ©e pour lisser le risque liĂ© aux cycles Ă©conomiques.

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À retenir (et à répéter lors de votre prochain dîner mondain)

Le private equity, ce n’est plus réservé aux pseudos multimillionnaires de Dubaï. Aujourd’hui, c’est accessible, varié, et si vous êtes prêt à laisser votre argent prendre l’air quelques années… ça peut vraiment booster votre patrimoine !

Ă€ vos marques, prĂŞts, investissez !

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